
Personne de confiance en entreprise
Un espace d’écoute confidentiel, impartial et indépendant
En tant que Personne de Confiance certifiée, formée par la Chambre suisse des Personnes de Confiance en Entreprise (CSPCE) et membre de cette institution, j’interviens sur mandat auprès d’organisations soucieuses du bien-être de leurs équipes. J’offre un accompagnement neutre, bienveillant et totalement indépendant, dans le respect des standards exigeants de la profession : formation continue, supervision régulière et engagement déontologique.
Un soutien humain dans les moments sensibles
Je suis à disposition des collaborateurs confrontés à des situations professionnelles délicates ou souffrantes, notamment :
- Conflits interpersonnels ou tensions dans l’équipe
- Harcèlement moral ou sexuel
- Mobbing, stress ou épuisement professionnel
- Discriminations ou atteintes à la personnalité
À travers des entretiens individuels strictement confidentiels, je propose un espace d’écoute sécurisé et indépendant, entièrement hors hiérarchie. Cela signifie que je n’ai aucun lien fonctionnel ou décisionnel avec l’employeur, ce qui garantit une neutralité totale dans l’accompagnement.
Un levier de prévention face aux risques psychosociaux (RPS)
Les RPS regroupent les situations de stress, d’épuisement professionnel, de harcèlement, de mobbing ou de tensions relationnelles qui peuvent nuire à la santé des collaborateurs et au bon fonctionnement de l’organisation. Lorsqu’ils ne sont pas pris en compte, ces risques peuvent entraîner des absences prolongées, une baisse de la motivation et un climat de travail détérioré.
Le recours à une Personne de Confiance externe constitue une mesure concrète de prévention. En offrant un espace d’écoute neutre, confidentiel et sans jugement, ce dispositif permet de désamorcer les situations conflictuelles avant qu’elles ne s’aggravent, de rompre l’isolement des personnes concernées et de restaurer un dialogue constructif. Il complète ainsi les autres démarches de gestion des ressources humaines et contribue activement à la préservation de la santé psychique au travail.
Ce dispositif est recommandé par le Secrétariat d’État à l’économie (SECO) et s’inscrit dans le cadre des obligations légales de l’employeur en matière de prévention des risques psychosociaux (article 6 de la Loi sur le travail – LTr – et article 2 al. 1 de l’Ordonnance 3 relative à la LTr – OLT3). Cette exigence a été confirmée par l’arrêt du Tribunal fédéral suisse du 9 mai 2012.
Il permet à chaque collaborateur·trice de s’exprimer librement, de clarifier sa situation et d’envisager, à son rythme, des pistes d’action adaptées à ses besoins. Aucune démarche n’est entreprise sans son accord explicite.
Une posture fondée sur une déontologie reconnue
Mon intervention repose sur les principes déontologiques établis par la CSPCE, garants de la qualité de l’accompagnement :
- Confidentialité : Les échanges sont strictement confidentiels. Aucun contenu n’est transmis à l’employeur ou à un tiers sans l’accord explicite de la personne, sauf en cas de danger grave et imminent (ex. menaces de suicide ou violences graves).
- Impartialité : Je maintiens une posture neutre et bienveillante à l’égard de toutes les parties. Je n’interviens jamais en faveur d’un camp ou d’un autre, et j’accorde la même qualité d’écoute à chacun.
- Indépendance : Je suis extérieure à la hiérarchie et n’ai aucun lien d’intérêt avec l’entreprise. Cette indépendance structurelle est une condition essentielle de l’efficacité du rôle.